L'oiseau de Saqqarah 19

15-09-2011 à 21:48:17
Saqqarah, Egypte. Situé à environ 350km au sud de Caire, c’est ici , en 1891, que des archéologues français ont déterrés un tombeau antique contenant les restes de Pa-di-lmen, un administrateur du troisième siècle avant J.C. Parmi la variété d’objets découverts se trouvait une petite figurine en bois ressemblant à un oiseau à côté d’un papyrus portant l’inscription: «  Je veux voler ».

L’artefact fut envoyé plus tard au Musée du Caire, où il fut placé au côté de plusieurs autres figurines d’oiseau. Il resta ignoré jusqu’en 1969, lorsque l’égyptologue Dr. Kahlil Messiha examina la collection d’oiseaux et remarqua qu’il y avait quelque chose de très différent dans celui de Saqqarah. C’est intéressant car d’un côté, il ressemble évidemment à un oiseau avec ses yeux et son nez typique. D’un autre côté, il semble évident que les ailes ne sont celles d’un oiseau. Au milieu du corps, on voit que l’aile est un peu plus épaisse. Dans cette partie, la portance est la plus importante. L’ensemble devient plus fin, au bout des ailes. Et ces ailes sont courbées vers le bas. Et c’est un design aérodynamique très moderne. L’autre point notable est que les oiseaux n’ont pas de gouvernail, grâce à son architecture aérodynamique. Du coup, on peut avoir l’idée que ce ne sont pas des oiseaux, mais des machines volantes, ou des aéronefs. Est-ce possible que les égyptiens antiques possédaient le pouvoir de voler?

En 2006, l’expert en aviation et aérodynamisme Simon Sanderson a construit un modèle à l’échelle de l’oiseau de Saqqarah, cinq fois plus large que l’original, pour tester cette possibilité. Ils fonctionneront à une vitesse constante, augmentant lentement l’angle d’attaque, et mesurons les forces qui s’appliquent sur l’aile. De cette façon, nous pouvons en apprendre davantage sur ses caractéristiques de vol. A dix degrés, elle produit une portance égale à quatre fois son poids. Donc, elle pourrait réellement s’envoler maintenant.

C’est bon l’expérience montre que l’oiseau de Saqqarah est un planeur hautement développé. Et c’est le design que nous utilisons aujourd’hui. Au cours du test Sanderson, il a découvert que la seule chose empêchant l’oiseau de Saqqarah de réussir à voler est l’absence de gouvernail arrière le stabilisant, ou d’un élévateur, nécessaire au maintien de l’équilibre. Est-il possible que l’oiseau de Saqqarah ait possédé un élément incontournable?

Ce qui manque est une sorte d’élévateur, mais on peut imaginer qu’une pièce ressemblant à un élévateur connecté. Le modèle informatique semble confirmer que l’oiseau de Saqqarah était certainement capable de voler. Mais il y a un autre paramètre à considérer: le lancement d’un planeur.

Actuellement, cela nécessite l’utilisation d’un avion remorqueur qui tiré le planeur dans le ciel, puis que le relâche quand l’altitude suffisante est atteinte. Alors comment les égyptiens antiques auraient-ils pu lancer l’oiseau de Saqqarah? Les scientifiques égyptologues nous disent qu’un tel oiseau pouvait être propulser par une catapulte puis voler. Et c’est une théorie bien acceptée par les scientifiques égyptologues. L’idée d’utiliser une catapulte possède un parallèle contemporain. De nombreux fans de planeurs utilisent actuellement un système d’élastique pour lancer leur engin. Mais si l’oiseau de Saqqarah est capable de voler, où les égyptiens antiques ont-ils pu acquérir cette technologie? On pense que nos ancêtres de l’antiquité ont reçu la visite d’extraterrestres, qui leur ont apportés une culture et une technologie scientifique pour transformer notre vie primitive de la Terre en une vie cultivé et hautement développer.

Voila comment cette preuve ce finit mais ce n’est pas la dernière.

DarkVerity